Je suis allé au resto avec ma blonde ce midi. Une sortie qu’on ne s’offre pas souvent.
D’abord pour faire taire les ragots concernant mon message précédent… Les vêtements ont effectivement rétréci ! Il n’y a rien d’autre à ajouter. C’est un constat que nous avons partagé ma blonde et moi. Voilà! Fin de l’anecdote. Ne prêtez aucune crédibilité à quelconque autre interprétation de mes propos.
Bon. Où en étais-je ? Ah oui ! Le malaise.
Confortablement assis à notre table, nous discutons ferme de choses et d’autres. Mon oreille furtive et leste (n’essayez pas cela à la maison, professionnel à l’œuvre…) capte les propos de la table voisine.
Trois jeunes femmes, sans doute cinq ans plus jeune que nous, discutent entre elles de leurs récentes conquêtes, de leur dernière peine d’amour et d’autres sujets du même acabit. Au détour d’une conversation surgit un nom. Celui d'un collègue de travail !
Plus la discussion avance, moins il ne fait pas de doute qu’elles parlent d’un gars que je connais. Même prénom, mêmes fréquentations, mêmes bars de prédilection, mêmes amis.
J’ai eu un courant de sympathie soudain. Et en même temps cette irrépressible envie de sourire. Mince… Je ne savais pas que tu t’étais fait flushé aussi abruptement. Pas de chance vieux! Un retour de balancier peut-être pour ton attitude tellement Mister Perfect… Entléka… Vous sentez le malaise ?
mercredi 21 mars 2007
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