Il est 1h22 le 15 novembre au matin.
À quelle heure entendrons-nous pour la première fois aujourd'hui, à la radio ou dans un bulletin d'information télévisée, qu'il y a 31 ans aujourd'hui, le PQ prenait le pouvoir? (contre toute attente... à la surprise générale... et bla, bla, bla et bla, bla, bla)
Aucun message portant le libellé politique. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé politique. Afficher tous les messages
jeudi 15 novembre 2007
mardi 30 octobre 2007
Intégration ou intégrisme?
Entendu à la commission Bouchard, Taylor & Sons
« Nous sommes des infidèles. Désormais on peut se faire tuer dans la rue à cause de l'intégrisme. »
Humm... Je paie cette commission avec mes taxes?
« Nous sommes des infidèles. Désormais on peut se faire tuer dans la rue à cause de l'intégrisme. »
Humm... Je paie cette commission avec mes taxes?
Soir de scotch
Il y a 12 ans, je lançais ma bière dans la télé. Fâché noir après Jacques Parizeau que j'étais.
Au cours des deux dernières semaines, j'avais fini par y croire. Nous y étions presque.
C'est bien l'une des deux seules fois que je suis sorti d'un bureau de vote avec le sentiment d'avoir fait mon devoir. L'autre fois, j'avais annulé mon vote...
Il neigeait vaguement au sortir du bureau de scrutin, situé dans l'école du coin de ma rue. C'était fabuleux. La Ville avait un look surréaliste. J'habitais un quartier à forte concentration souverainiste, le Centre-Sud de Montréal. Tout le monde faisait la file paisiblement pour aller voter, chacun avec un petit sourire béat au visage. Chacun avec le même sentiment d'aller inscrire sur un bout de papier le rêve qu'eux ou leurs parents avaient eu pour leur pays.
Même si nous étions sûrs de ne pas gagner, nous y croyions. La visite de toutes ces bonnes pommes Canadian, bonnes pommes peut-être mais déconnectées, m'avaient survoltés. Surtout que cela était payé par des entreprises au mépris de nos lois électorales et référendaires.
Je leur avais fait tant de «finger» en route vers le travail... Pauvres personnes... ils ne devaient rien y comprendre... pourtant je recommencerais si le même événement se reproduisait.
Parizeau avait en partie raison pour le début de sa déclaration. L'argent a remporté la bataille. Il n'y en aura sans doute jamais d'autres batailles.
Quant au reste de la déclaration, le Québec est encore assis dans le carré de sable à se gratter le bobo. Coïncidence ou pas, l'un des infirmiers mandatés pour désinfecter la plaie est le frère de l'ancien leader du Oui.
Parenthèse mis à part, j'écris que le résultat m'avait déçu. Je suis encore sous le coup de la déception.
La «prochaine fois» n'aura probablement jamais lieu.
Quel gâchis.
Au cours des deux dernières semaines, j'avais fini par y croire. Nous y étions presque.
C'est bien l'une des deux seules fois que je suis sorti d'un bureau de vote avec le sentiment d'avoir fait mon devoir. L'autre fois, j'avais annulé mon vote...
Il neigeait vaguement au sortir du bureau de scrutin, situé dans l'école du coin de ma rue. C'était fabuleux. La Ville avait un look surréaliste. J'habitais un quartier à forte concentration souverainiste, le Centre-Sud de Montréal. Tout le monde faisait la file paisiblement pour aller voter, chacun avec un petit sourire béat au visage. Chacun avec le même sentiment d'aller inscrire sur un bout de papier le rêve qu'eux ou leurs parents avaient eu pour leur pays.
Même si nous étions sûrs de ne pas gagner, nous y croyions. La visite de toutes ces bonnes pommes Canadian, bonnes pommes peut-être mais déconnectées, m'avaient survoltés. Surtout que cela était payé par des entreprises au mépris de nos lois électorales et référendaires.
Je leur avais fait tant de «finger» en route vers le travail... Pauvres personnes... ils ne devaient rien y comprendre... pourtant je recommencerais si le même événement se reproduisait.
Parizeau avait en partie raison pour le début de sa déclaration. L'argent a remporté la bataille. Il n'y en aura sans doute jamais d'autres batailles.
Quant au reste de la déclaration, le Québec est encore assis dans le carré de sable à se gratter le bobo. Coïncidence ou pas, l'un des infirmiers mandatés pour désinfecter la plaie est le frère de l'ancien leader du Oui.
Parenthèse mis à part, j'écris que le résultat m'avait déçu. Je suis encore sous le coup de la déception.
La «prochaine fois» n'aura probablement jamais lieu.
Quel gâchis.
lundi 17 septembre 2007
Fortitude
Stéphane Dion a employé un mot que je n'aurais cru utilisable un soir de défaite. Que dis-je? Un soir de dégelée.
Fortitude.
En fait, tellement peu utilisé que Le Robert ne le compte pas. (Les votes libéraux aussi, comptent peu ce soir.)
Fortitude donc. n.m. (2007: politique)
État des électeurs qui s'abstiennent de voter libéral, mais qui pensent que, la prochaine fois, ils vont voter libéral.
Comme dans la phrase suivante: «Et lorsque l'on va gagner les prochaines élections générales, nous pourrons avoir le regard tourné vers cette soirée du 17 septembre dans Outremont et nous dire que c'est grâce à la fortitude des électeurs d'Outremont que l'on a forgé notre victoire.»
Stéphane Dion (et Jocelyn Coulon) avait le «L» de «loser» d'étampé dans le front.
Fortitude.
En fait, tellement peu utilisé que Le Robert ne le compte pas. (Les votes libéraux aussi, comptent peu ce soir.)
Fortitude donc. n.m. (2007: politique)
État des électeurs qui s'abstiennent de voter libéral, mais qui pensent que, la prochaine fois, ils vont voter libéral.
Comme dans la phrase suivante: «Et lorsque l'on va gagner les prochaines élections générales, nous pourrons avoir le regard tourné vers cette soirée du 17 septembre dans Outremont et nous dire que c'est grâce à la fortitude des électeurs d'Outremont que l'on a forgé notre victoire.»
Stéphane Dion (et Jocelyn Coulon) avait le «L» de «loser» d'étampé dans le front.
Mulcair élu
Thomas Mulcair élu dans Outremont. Saprée nouvelle!!
Pour ce que je connais de lui, c'est un bulldog, un batailleur de terrain. Auréolé de son titre de martyr d'Orford, il partait avec un bel avantage.
Ça va sentir le roussi pour Stéphane Dion.
Les conservateurs scorent bien partout. Attendez-vous à les voir se faire battre au premier vote de confiance venu.
Pour ce que je connais de lui, c'est un bulldog, un batailleur de terrain. Auréolé de son titre de martyr d'Orford, il partait avec un bel avantage.
Ça va sentir le roussi pour Stéphane Dion.
Les conservateurs scorent bien partout. Attendez-vous à les voir se faire battre au premier vote de confiance venu.
samedi 17 mars 2007
La clique au poteau!
Je me suis fait scooper! Gorge profonde a mis le doigt sur la vraie nouvelle concernant l'actuelle campagne électorale: La démonisation de Montréal par le reste du Québec.
De tout temps, la ville et la campagne se sont trouvé dos-à-dos. La ville, centre d'ouverture et de mélange culturel. Pôle d'attraction pour l'activité économique et la connaissance. La campagne, lieu de nos origines. Nécessaire à la survie collective. Garde-manger des villes. Je résume sommairement.
Auparavant Montréal pouvait être le reflet du reste du Québec, «splitté» en deux camps entre fédéralistes, à l'Ouest et souverainistes, à l'Est. Du moins depuis la Révolution tranquille.
Les dernières élections fédérales sont venues faire la preuve que c'était fini tout ça. J'y vais d'une analyse à cinq sous. Les résultats du référendum de 1995 où le NON l'a emporté après l'ouverture des urnes de Montréal ont brisé le coeur des souverainistes, qui étaient majoritaires dans la plupart des autres circonscriptions (sauf celles de Québec, déjà mouton noir électoral...)
Le scandale des commandites révélé n'a fait qu'augmenter le cynisme des électeurs. Les deux éléments mis ensemble (défaite référendaire et cynisme... saupoudrés d'un peu d'air du temps post-11 septembre), pour ces raisons (peut-être?) le terreau politique est devenu fertile à un message un peu plus de droite. L'ADQ perdure depuis si longtemps... on pourrait peut-être l'écouter, se disent de plus en plus de gens.
Donc, c'est fini tout ça. Et l'occasion est belle de faire un pied de nez magistral à Montréal. Une ville d'ingrats, peuplé de gens de toutes les régions qui ont de la misère à revenir à la maison de leurs parents ne serait-ce que pour la veille de Noël.
Il est curieux de voir aussi que l'une des émissions de télé la plus écoutée au Québec est animé par une personne dont l'image passe très mal en région: Guy A. Lepage.
On va reprocher à l'humoriste de pontifier sur les ondes (non pas pontifier, on est plus terre-à-terre hors Montréal... disons faire la morale de façon hautaine) et d'être surtout la figure de proue de la désormais célèbre «clique du Plateau».
Même Victor-Lévy Beaulieu s’en mêle. Le diable est aux vaches.
Le Plateau, qui est si menaçant aux yeux de certaines personnes. Je ne comprends pas pourquoi. Le Plateau qui s'étend désormais sur l'ensemble de l'île selon d'où l'on habite dans la province.
Du côté de Montréal, on oppose quoi au Plateau? On oppose Hérouxville! C'est sûr que vu de même, ça n'avance pas trop le débat.
Nous sommes en train de retourner aux partages des circonscriptions du temps de l'Union Nationale. L'histoire se répète, Madame? Non monsieur, elle bégaie!
Bonne Saint-Patrick quand même! Prenez une Guinness ou une Kilkenny pour l'occasion.
De tout temps, la ville et la campagne se sont trouvé dos-à-dos. La ville, centre d'ouverture et de mélange culturel. Pôle d'attraction pour l'activité économique et la connaissance. La campagne, lieu de nos origines. Nécessaire à la survie collective. Garde-manger des villes. Je résume sommairement.
Auparavant Montréal pouvait être le reflet du reste du Québec, «splitté» en deux camps entre fédéralistes, à l'Ouest et souverainistes, à l'Est. Du moins depuis la Révolution tranquille.
Les dernières élections fédérales sont venues faire la preuve que c'était fini tout ça. J'y vais d'une analyse à cinq sous. Les résultats du référendum de 1995 où le NON l'a emporté après l'ouverture des urnes de Montréal ont brisé le coeur des souverainistes, qui étaient majoritaires dans la plupart des autres circonscriptions (sauf celles de Québec, déjà mouton noir électoral...)
Le scandale des commandites révélé n'a fait qu'augmenter le cynisme des électeurs. Les deux éléments mis ensemble (défaite référendaire et cynisme... saupoudrés d'un peu d'air du temps post-11 septembre), pour ces raisons (peut-être?) le terreau politique est devenu fertile à un message un peu plus de droite. L'ADQ perdure depuis si longtemps... on pourrait peut-être l'écouter, se disent de plus en plus de gens.
Donc, c'est fini tout ça. Et l'occasion est belle de faire un pied de nez magistral à Montréal. Une ville d'ingrats, peuplé de gens de toutes les régions qui ont de la misère à revenir à la maison de leurs parents ne serait-ce que pour la veille de Noël.
Il est curieux de voir aussi que l'une des émissions de télé la plus écoutée au Québec est animé par une personne dont l'image passe très mal en région: Guy A. Lepage.
On va reprocher à l'humoriste de pontifier sur les ondes (non pas pontifier, on est plus terre-à-terre hors Montréal... disons faire la morale de façon hautaine) et d'être surtout la figure de proue de la désormais célèbre «clique du Plateau».
Même Victor-Lévy Beaulieu s’en mêle. Le diable est aux vaches.
Le Plateau, qui est si menaçant aux yeux de certaines personnes. Je ne comprends pas pourquoi. Le Plateau qui s'étend désormais sur l'ensemble de l'île selon d'où l'on habite dans la province.
Du côté de Montréal, on oppose quoi au Plateau? On oppose Hérouxville! C'est sûr que vu de même, ça n'avance pas trop le débat.
Nous sommes en train de retourner aux partages des circonscriptions du temps de l'Union Nationale. L'histoire se répète, Madame? Non monsieur, elle bégaie!
Bonne Saint-Patrick quand même! Prenez une Guinness ou une Kilkenny pour l'occasion.
mercredi 14 mars 2007
Des hauts et débats
Je vais peut-être passer pour weird, mais je trouve que Boisclair s'est fort bien tiré d'affaires, hier soir.
Charest a été plutôt moyen, voire ordinaire (Moyen... ordinaire... C'est quoi la différence?).
Quant à Dumont... Je ne sais trop quoi en penser. Populiste à souhait, il a sans doute marqué des points. Mais il ne me rejoint TELLEMENT pas!
Un sondage express publié ce matin dans un grand quotidien (je vous laisse deviner lequel) nomme Dumont grand vainqueur de cette joute. C'était la saveur du moment, du moins. On verra demain et après demain... et le 26 mars...
Comme s'il fallait à tout prix un gagnant!
On va analyser pendant un certain temps l'histoire du viaduc de la Concorde de Dumont. Charest l'a retourné en disant qu'il était irresponsable d'agir ainsi. Il est vrai que Dumont a brandi quelque chose qui concerne la mort de citoyens québécois. C'est "touchy".
Par contre Charest qui joue les vierges offensées, c'était pas lui qui avait sorti une histoire survenue le jour même au cours du débat en 2003 pour désarçonner le premier ministre sortant? Hormis le fait que personne était mort dans ce cas-là, est-ce que cela avait plus de classe?
Cela dit dans le fond, je les ai trouvé pas trop pire. Ils ne se sont pas juste grafignés la face. Ils ont (un peu) présenté leurs programmes.
Charest a été plutôt moyen, voire ordinaire (Moyen... ordinaire... C'est quoi la différence?).
Quant à Dumont... Je ne sais trop quoi en penser. Populiste à souhait, il a sans doute marqué des points. Mais il ne me rejoint TELLEMENT pas!
Un sondage express publié ce matin dans un grand quotidien (je vous laisse deviner lequel) nomme Dumont grand vainqueur de cette joute. C'était la saveur du moment, du moins. On verra demain et après demain... et le 26 mars...
Comme s'il fallait à tout prix un gagnant!
On va analyser pendant un certain temps l'histoire du viaduc de la Concorde de Dumont. Charest l'a retourné en disant qu'il était irresponsable d'agir ainsi. Il est vrai que Dumont a brandi quelque chose qui concerne la mort de citoyens québécois. C'est "touchy".
Par contre Charest qui joue les vierges offensées, c'était pas lui qui avait sorti une histoire survenue le jour même au cours du débat en 2003 pour désarçonner le premier ministre sortant? Hormis le fait que personne était mort dans ce cas-là, est-ce que cela avait plus de classe?
Cela dit dans le fond, je les ai trouvé pas trop pire. Ils ne se sont pas juste grafignés la face. Ils ont (un peu) présenté leurs programmes.
jeudi 8 mars 2007
Où vas-tu avec tes skis?

L’homme se réveilla de bon matin. Par la fenêtre de l’autobus, le soleil plombait.
D’un viril coup de coude, il réveilla sa douce en lui disant : « Michou, il fait un froid à tuer une vache à coups de facteur éolien dehors. Je crois que je vais aller skier! »
N’écoutant que son courage et sa fierté de montrer qu’il pouvait s’aventurer sur d’autres terrains glissants que ceux de la veille, il enfila son équipement et s’assit dans le remonte-pente muni d’un billet aller seulement.
Le point culminant de sa campagne atteint (c’est une image), il se laissa glisser jusqu’au pied des pentes où une meute de reporters et photographes frigorifiés se massaient pour entendre le clip du jour.
Imaginez un seul instant le bonheur chez RDI s'il s'était pété la gueule sur la piste...
Tout ce beau monde eut le temps de reprendre la caravane juste à temps pour écouter le début de l’émission de Christiane. (Ça, je ne suis pas sûr.)
C’est ainsi qu’une autre fabuleuse journée de campagne électorale a pris son envol au Québec. N’est-ce pas merveilleux?
Photo Jacques Boissinot, Presse Canadienne ©
mercredi 28 février 2007
Je voudrais voter dans Gouin
Le système électoral québécois comporte beaucoup d’inconvénients. L’un de ceux-là est que si l’on habite dans une circonscription peu inspirante, on doit voter parmi des candidats anonymes, inconnus ou destinés à être des députés d'arrière banc.
Or, mes voisins de quelques rues auront des noms plus évocateurs sur leur bulletin de vote. Au moins deux : Nicolas Girard et Françoise David.
Voter dans Gouin… pour pouvoir voter contre Nicolas Girard.
J’ai autant d’estime pour Nicolas Girard que j’en ai pour Justin Trudeau. Deux coquilles vides des deux côtés du spectre. Deux coquilles qui sont promises à jouer un rôle dans notre société. Permettez-moi d’avoir peur pour l’avenir.
Au moins au fédéral, j’aurai l’occasion de voter contre Justin Trudeau.
Voter dans Gouin… pour pouvoir voter pour Françoise David.
O.K. Sortez vos quolibets: Idéaliste, naïf, tata…
On peut trouver le programme de Québec solidaire un brin gnan, gnan, c’est selon. Mais avoir la chance d’envoyer une porte-parole comme Françoise David sur les banquettes de l’Assemblée nationale, ça pourrait être intéressant. Ne serait-ce que pour un mandat. Histoire de voir ce que cela peut apporter.
Mme David participerait à des comités parlementaires, elle apporterait un petit côté chien de garde à Québec. Elle l’a fait très bien de l’extérieur dans les 10, 15 dernières années. Ce serait drôle de la voir à l’intérieur du système.
Ce ne sera pas utile partout de voter pour Québec solidaire, mais dans Gouin… Ça m’aurait tellement fait plaisir.
Or, mes voisins de quelques rues auront des noms plus évocateurs sur leur bulletin de vote. Au moins deux : Nicolas Girard et Françoise David.
Voter dans Gouin… pour pouvoir voter contre Nicolas Girard.
J’ai autant d’estime pour Nicolas Girard que j’en ai pour Justin Trudeau. Deux coquilles vides des deux côtés du spectre. Deux coquilles qui sont promises à jouer un rôle dans notre société. Permettez-moi d’avoir peur pour l’avenir.
Au moins au fédéral, j’aurai l’occasion de voter contre Justin Trudeau.
Voter dans Gouin… pour pouvoir voter pour Françoise David.
O.K. Sortez vos quolibets: Idéaliste, naïf, tata…
On peut trouver le programme de Québec solidaire un brin gnan, gnan, c’est selon. Mais avoir la chance d’envoyer une porte-parole comme Françoise David sur les banquettes de l’Assemblée nationale, ça pourrait être intéressant. Ne serait-ce que pour un mandat. Histoire de voir ce que cela peut apporter.
Mme David participerait à des comités parlementaires, elle apporterait un petit côté chien de garde à Québec. Elle l’a fait très bien de l’extérieur dans les 10, 15 dernières années. Ce serait drôle de la voir à l’intérieur du système.
Ce ne sera pas utile partout de voter pour Québec solidaire, mais dans Gouin… Ça m’aurait tellement fait plaisir.
S'abonner à :
Messages (Atom)