Pourquoi ne pas parler de Patrick Lagacé puisque je me suis permis une pointe à l'endroit de son collègue de Télé-Québec?
M. Lagacé, du haut de son blogue perché, a si bien picossé les hautes instances de Quebecor qu'il a attiré sur lui les foudres de Luc Lavoie, vice-président exécutif de la multinationale et porte-parole officiel du PDG Pierre-Karl Péladeau.
Vous pouvez lire la correspondance enrichissante entre le blogueur et le vice-président. Lagacé nous fait ici la preuve des dérives des blogues tenus par des journalistes «professionnels» sur le site même de leur employeur.
Il nous fait également la preuve qu'il est bon d'être lu (et relu) avant publication. Ce qui, pour un blogueur, n'est pas la norme au contraire.
Ce n'est pas qu'il publie la lettre de Luc Lavoie qui m'agace le plus (quoique...), mais bien qu'il se permette de rendre publique sa réponse. Dans sa position, il est déjà assuré d'avoir le dernier mot. Il faut qu'il en ajoute en baissant sa braguette et pisser plus loin que l'autre.
Le téléphone doit se faire aller dans les services juridiques de l'ancien et du nouvel employeur du blogueur émérite.
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2 commentaires:
J'ajoute un commentaire moi-même juste pour dire que la séance de mesurage de zizis se poursuit entre les deux acolytes.
Luc Lavoie répond à Patrick Lagacé dans la section commentaire de son message déjà mis en référence.
Si vous avez envie de suivre ce débat entre deux intellectuels (et connaître le nom de TOUS les amis de monsieur Lavoie...).
J'avoue que Lavoie fait bien. Dans le rôle du persécuté, il est tout à fait crédible. Le blogueur, quant à lui, commence à perdre des plumes.
Ce n'est pas moi qui va tenter de le remplumer.
Je n'ai aucune craintes pour Super Pat, il va utiliser un de ses super pouvoir de super pat pour se tirer du pétrin.
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