jeudi 12 juillet 2007

Chercher sa voie

Cinquante-cinq messages publiés depuis le lancement de ce blogue, le 26 février dernier. Cent trente-six jours après… J’ai encore l’impression de chercher le ton, de chercher ma voie.

J’écrivais, dans mon message initial, qu’à lire certains blogueurs professionnels, je ne pouvais pas faire pire qu’eux. Je n’ai certes pas fait pire, mais je n’ai pas élevé la barre non plus. Je n’ai rien sorti de l’exercice qui soit transcendant.

Le blogue m’a fait découvrir des choses par contre. Des choses, mais surtout des personnes. Il m’a permis des rencontres quotidiennes, sinon hebdomadaires. Il ne se passe pas beaucoup de journées entre mes différentes visites sur les blogues mentionnés dans mes fréquentations. Il y a dans ces visites du plaisir à lire des gens, certains me sont connus, d’autres pas.

Oui, mais… Il reste que je cherche et je cherche un ton. Il me semble ne pas le trouver.

J’ai choisi la voie de l’anonymat. L’idée d’être masqué, dissimulé derrière un pseudonyme, non pas pour charger à tout vent, mais juste pour ne pas porter le poids du blogue partout où je vais. Je ne crois pas avoir écrit un seul message ici que je ne défendrais pas en tant que moi-même.

Je ne suis pas anonyme pour masquer une quelconque célébrité. Je suis plutôt quelconque, point à la ligne à cet égard. (Enfin! Je souris en écrivant ces lignes…)

J’espère que vous osez cliquer sur les liens menant aux documentaires laissés plus bas sur la page. C’est l’un des aspects que je voulais vanter le plus sur ce blogue. Ce n’est pas un succès. Zéro commentaire sur tous les messages traitant de ces documentaires. Peut-être parce que certains sont trop «polarisés», voir le message précédent pour valider mon propos…

Bon. Je vais continuer à travailler sur ce blogue, mais je n’exclus pas encore d’arrêter tout (et de peut-être relancer ça sous une autre forme…). De toutes évidences, je me cherche encore.

Vous n’avez pas besoin de m’écrire pour m’encourager (à tout lâcher ou à poursuivre…). Je ne cherche pas d’approbation. Par contre, honnêtement je me sentais l’obligation de vous dire franchement où j’en étais dans mes réflexions.

Sur ce blogue, professionnellement et partout ailleurs… En ce qui me concerne… Vivement les vacances!

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