J'adore cet instant où l'on ouvre le livre pour la première fois et que l'on plonge dans une histoire neuve, dans une intrigue inconnue.
« Comme chaque matin, il fit cent cinquante brasses vers le large et autant pour revenir à la plage en continuant de nager jusqu'à ce qu'il sente les galets ronds sous ses pieds. » 1
Cela ne nous dit rien, mais on plonge et on plonge... jusqu'à ce que l'histoire nous emporte.
1. Perez-Reverte, Arturo. Le peintre de batailles. Seuil. 2007. Page 9
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